
Cher lecteur, ce n'est pas le 1er avis qui m'intéresse ici, mais bien plus la réaction chevaleresque de notre sauveur romanesque et sa tentative de démonter le terme "pubesque". J'ai essayé de répondre directement sur ce blog, mais impossible (blogger, excuse-moi de mon spam éventuel). C'est donc ici même que je livre ma réponse !
Tout d'abord, il nous faut découvrir avec surprise cette courte vidéo :
Clipesque/Pubesque ça, tu meurs !?
Cette vidéo marque la rencontre entre 2 icônes d'une "contre-culture"; Tsukamoto et MTV. Le mot important ici est "contre-culture". C'est-à-dire des icônes dynamitant les habitudes de la société d'époque. Icônes qui s'imposeront rapidement comme des références.
Il serait donc possible qu'à l'origine l'aspect pubesque/clipesque allait "à l’encontre du monde aseptisé et/ou cotonneux de la publicité" (par extension de la société de consommation), qu'il était une véritable marque d'affirmation d'un renouveau, d'une rebellion.
Mais depuis, le cinéphile lacanien s'est habitué à retrouver ces effets clipesques dans son quotidien, dans la publicité comme les films (Bourne, BEURK). Des effets permettant juste de dynamiser les images (difficile de regarder un clip de zik sans vomir), et non plus de les dynamiter.
Une évolution du terme qui me rappelle furieusement cet article !
Add : Finalement, mon commentaire a été publié, comme j'en ai profité pour développer un peu plus l'idée via ce post, je le laisse. Ca peut toujours interesser !
tu es décidément rapide : qu’on fasse le lien avec Jason Bourne et cie, voilà qui est un peu fort. Dès que ça coupe vite c’est kif kif ? Si je comprends bien, Abel Gance et Michael Bay je mets ça dans le même panier…
RépondreSupprimerCommentaire publié sur le blog mentionné en début d'article. J'ai du mal à comprendre ce qu'il veut me faire dire ?