
Les films en question sont des produits érotiques japonais de la fin des années 60 (réalisés par Koji Wakamatsu).
L'éditeur est parvenu à régler le problème après 3 jours en expliquant qu'il s'agissait de films politiques et pas érotiques. Comme quoi, auprès des gens, c'est toujours plus noble de mettre en avant qu'un genre sert juste de véhicule à une critique politique...
Donc en 2009, l'érotisme c'est politiquement incorrect mais des films anarchistes poussant le spectateur à sortir de sa léthargie idéologique pour aller poser des bombes, c'est acceptable. Tout s'explique, c'est logique

(le meme réalisateur qui en 2007 se fait interdire aux -18 son film de 66 sous pretexte qu'il donne une image déviante des rapports humains tout en rabaissant la femme).
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