Une comédie française, jouant sur un passif catholique façon Fernandel, achevé par un propos républicain nunuche, avec Bigard coinçé du cul en tête d'affiche... ça peut réserver quelques BONNES petites surprises. Hé oui, malgré son allure de pur nanar, Le Missionnaire compense la nullité de son histoire par des éclairs de Cinémas, comme là par ex :
On appelle ça un travelling compensé, un plan qui réflète évidemment l'état de surprise/d'écrasement du perso devant un fait qui vient soudainement chambouler son plan.
Autrement, on aura le droit à des petites compositions bien placées, comme ça :
Visuellement, c'est un niveau au-dessus des comédies pantouflardes plan-plan. Dommage que pour le reste, Le Missionnaire ressombre dans le fossé des mauvaises comédies...
samedi 19 septembre 2009
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