Ci-contre, l'auteur Christophe Honoré nous révèle sa triste réalité :
C'est pas facile tous les jours d'être un auteur dans un pays qui vous méprise. La bonne blague. Au mieux leurs films suscitent l'incompréhension, au pire l'indifférence. Et encore, on parle de cette génération d'auteurs qui navets après navets trouvent toujours des financements.
J'ai plutôt l'impression que la "génération méprisée" c'est celle qu'on ne laisse pas exister, celle qui ne parvient pas à trouver du fric, celle qu'aucun grand magazine culturel ne va interviewer ou prendre en photos...
Je veux dire, Honoré il est méprisé par qui ? Ça doit être coule d'être un auteur martyr ?
mercredi 2 septembre 2009
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Nous serions sur Facebook que je vous mettrais volontiers un pouce cher Bob, en tout bien tout honneur.
RépondreSupprimerHonoré, le Robert Rodriguez de la Nouvelle Vague française.
Oh non tu continues sur Honoré :(
RépondreSupprimerEn plus là tu exagères la "génération méprisée" de l'article est celle des quarantenaires. Il n'y est pas du tout question de son cinéma. C'est un post mensonger, je proteste !!!! (je suis un Honoré fan hysterique;)