
Mais où est donc la svastika censée être dans le cercle dominé par l'aigle royal ?
Doublement étrange pour un film se déroulant en France (da basterds) Occupée par les Nazis (ces mystiques meurtriers).
Triplement étrange même, puisqu'il est question d'une fiction dont une partie concerne un commando chargé de scalper du nazis. C'est-à-dire de démolir le Grand Satan.
Le problème serait-il qu'une fiction conçue volontairement comme une fiction (pas de "oui, on a passé 10 ans à retracer les détails historiques par soucis de réalisme"), OSE exploiter un contexte historique sensible, douloureux et tabou en France pour raconter une fiction sur la puissance du cinéma ? Le mot important est ici, fiction.
Il n'y aurait sans doute pas de polémique comme pour les clopes de Tati ou de Toutou parce qu'il s'agit après tout d'un symbole horrible qui heurte certaines sensibilités. Le côté légitime quoi.
C'est vrai que Quentin Tarantino ressemble un peu à Goebbels. Un salaud de propagandiste à la solde de l'Empire du Hamburger-Entertainment. On m'y reprendra plus ! Merci Universal !
Qu'est-ce qu'on s'en fout, sérieux!
RépondreSupprimerAno t'es pas à une contradiction près hein :)
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