Je veux bien sûr parler des films érotiques giscardiens (puis mittérandiens) ! Rendons donc hommage à l'oeuvre du cher José Bénazéraf, qui a défaut d'être visible quelque part, à de quoi nous faire rêver en cette période de médiocrité des titres.
- Voyage au bout du vice (1986)
- Le yacht des partouzes (1985)
- Olynka, grande prêtresse de l'amour (1985)
- Le cul des mille plaisirs aka La veuve lubrique (1985)
- Gilda la ravageuse (1985)
- Malisa, Elisa et le taureau aka La corrida charnelle (1985)
- Confidences pornographiques de Lady Winter(1985)
- Le port aux putes (1984)
- Du foutre plein le cul (1984)
- Antiquaire a la chatte trempée (1984)
- Sexologues en chaleur (1984)
- L'espionne s'envoie en l'air (1983)
- Le majordome est bien monté (1983)
- La Madonna des pipes (1983)
- Eva la grande suceuse (1983)
- Chattes chaudes sur queues brûlantes (1983)
- Grimpe-moi dessus par-dessous (1978)
- Vices cachés de Miss Aubépine (1977)
- L'homme qui voulait violer le monde (1974)
....
En tout cas, messieurs les marketeux, s'il vous plaît, pensez plus Bénazéraf que Calberac.
Oh mais de toute façon de nos jours les titres de films français disent clairement ce qu'il y a dans le film donc ne me donnent pas envie d'aller au ciné les voir.
RépondreSupprimerJe m'en souviens encore. Quand mes parents partaient au travail, je m'astiquais le manche devant ces films fabuleux. J'avais 14 ans... ;-)
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