Je constate que tu tiques sur le montage du film. Rassures-moi, tu as craqué au bout de 15 minutes d'Inland Empire, et tu rejettes les tentatives de narration un tant soit peu déconstruite ou bien c'est juste parceque c'est Soderbergh, un gars sur qui on aime bien taper ?Ceci mes amis, est un exemple de la maîtrise de la langue de bois cinéphilique.
Où à défaut d'avancer certains arguments concrets sur le film, et ainsi sortir du terrain glissant de l'interpretation théorique, notre camarade cinéphile préfère provoquer son interlocuteur à base de réflexions hors-sujets.
Car jusqu'à preuve du contraire, il n'est pas question de Inland Empire ou d'un choix de narration déconstruite, et que les potins concernant un réalisateur n'ont aucun lien avec l'état de son travail (Soderbergh mange du chocolat, j'aime pas ça, son film é nul. Bonjour le mépris...)
Mais surtout, le plus important, c'est la manière avec laquelle le cinéphile place la discussion dans le domaine sentimentalo-personnel... À la base, il était juste question de langage cinématographique; 1 plan = 1 idée; Soit une grammaire constatable objectivement, quelque chose qui ne dépend ni des préjugés, ni de l'état mental des spectateurs.
Langue de bois, car ça n'apporte rien. Pire, ça comble son manque d'argument par de la provocation puérile hors-sujet (le sujet devenant "tu"). Ce qui est de loin, la meilleure façon de parler de tout, sauf du film.
Ahhh, la beauté des débats cinéphiles !!!!
j'aime pas car tu aimes pas le chocolat.
RépondreSupprimerJ'ai gagné?
Zaléra