
C'est-à-dire qu'au lieu d'interroger cette culture, ce qu'elle sous-entend, on préfère s'en limiter à du superficiel. Des loosers boutonneux frustrés adeptes d'informatique qui kiffent des films cultes et connaissent plein de détails superflus sur les univers fantastiques.
En fait, j'ai l'impression d'être devant des mauvais commerciaux qui essayent de définir une audience. Au lieu d'essayer d'en comprendre l'essence, ces mecs s'arrêtent à la vision bateau d'une nouvelle mouvance de consommateurs (qui ont des habitudes étranges mébon).
Ce genre d'approche ne concerne pas seulement un public GEEK, mais tout ce qui sort du petit monde de quelques médias parisiens. Et c'est ça le plus effrayant, de voir comment le traitement d'une information est bâclé, méprisé, et simplifié.
Il y a de quoi faire réfléchir.
Si sur un domaine secondaire, on se retrouve déjà avec du n'importe quoi bien neuneu, imaginez un peu l'état des informations quotidiennes = EPIC FAIL.
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