# Paris, la tour eiffel, des américains, des audis, de l'action, des répliques culcul. C'est un bon résumé de cette nouvelle production EuropaCorp.
# L'histoire, il n'y en a pas. À un moment donné, le film essaye de raconter quelque chose sur des terroristes, mais finalement, c'est surtout un bon prétexte pour montrer Travolta tuer du chinetok terroriste.
# C'est là où tu réalises que Los Angeles, c'est rien comparé à Paris. Où dans des sous-salles de sous-terrains de sous-salles, il y a des réseaux dangereux armés d'AK47. Heureusement que les services américains sont là. Quand même !
# Forcément vu le contexte de folie, le spectateur lambda a grillé dès les 5 premières minutes la finalité du film. Enfin, l'une des finalités du film. C'est-à-dire que t'as environ 1h10 d'avance sur le déroulement du film. Alors paye ta surprise lors de la révélation !
# La scène la plus intense reste sans doute celle du mangé d'hamburger. Parce que tu peux : ni la prévoir à l'avance, ni la supporter, ni comprendre l'intérêt de la scène autre que "hey, c'est travolta, il aime le domac comme dans pulp fiction wouaw lol". C'est ce que l'on appelle faire du gros clin d'oeil au spectateur. Comme le film raconte rien, faut bien trouver une manière d'éveiller la sympathie.
# Parce que c'est fun et bigarré, Travolta incarne le parfait gros gay cabotin qui aime bien les gros calibres et aimerait sans doute bien se farcir son partenaire. Ce sous-texte de folie est amené avec la subtilité d'un Luc Besson, normalement dès sa première scène, Travolta respire le mâle dominant son copain le policier. Vous savez comme dans le groupe disco ricain. Huhahaha.
La Bob Note : Non/10
mercredi 3 mars 2010
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