# Sherlock Holmes façon Guy Ritchie, c'est un detective privé trash un poil cynique, faisant attention aux moindres détails qu'il organise bien proprement dans son esprit de gay refoulé.
# Donc, ça boit, ça court, ça fight mais ça ne baise pas.
# L'une des idées centrales du film, c'est de nous montrer Holmes en train d'imaginer une scène qu'il va ensuite effectuer comme prévu. Parfois, c'est l'inverse, il constate des détails pour ensuite nous les expliquer de A à Z façon Scooby-doo.
# Si l'histoire était interessante, ça pourrait être mieux que marrant.
# Donc, Holmes se retrouve à enquêter sur des occultistes conspirationnistes londoniens. Dans l'idée, c'est excellent d'utiliser le contexte de l'Angleterre en pleine industrialisation et ses cercles mystiques un peu étranges.
# Basiquement, ça permet de confronter personnage dont le sens du rationnel frise l'obsession à un monde complètement vague, mystérieux, qui repose sur des idées étranges, magiques.
# Au final, rien du tout. Holmes reste un obsédé de l'explication capable de comprendre les moindres trouvailles de ses adversaires, cassant littéralement la dose de mystère. Il lui suffira d'une bonne gueule de bois pour surmonter ses difficultés et revenir à la raison.
La Bob Note : I herd u lik biatches/10
mardi 19 janvier 2010
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