Aujourd'hui, j'ai vu la 1ère saison de Pushing Daisies :
# Tout d'abord, je dois remercier les adorateurs de cette petite merde fumante pour m'avoir inciter à y tremper, moi aussi, mes doigts. Le secret magique des séries TV américaines !
# C'est relativement beaucoup moche. Je comprends qu'une ambiance ultra colorée et naïve puisse émouvoir quelques âmes sensibles mais à ce niveau-là... Ça m'a rappelé ces films nous plongeant dans une réalité virtuelle, au début des années 80, avec les gros pixels et effets polygones. La nostalgie !
# L'idée de départ est mignonne. La suite, moins. Les petites enquêtes sont totalement vaines et les relations entre les persos sont carrément emmerdantes. Faut dire que l'histoire ressemble plus à du Santa Barbara qu'à autre chose, machine chose aime untel mais il est déjà casé alors comment allons nous faire ? *Ne pas regarder la saison 2* ce serait un bon début.
# L'ambiance rose bonbon, accompagnée par la voix-off pédante, c'est pour les ménagères lobotomisées ? Pour leur offrir un semblant de vie et d'espoir, en même temps qu'un peu d'amour ? Ah non, c'est juste le concept novateur de la série. À défaut d'avoir une histoire intéressante, on 'exploite' un univers en fond vert et des sentiments mignons.
# Comme le héros et sa copine ne peuvent pas se toucher, ils se font des sourires super mimi. Avec des voix super mimi. Ce serait pas un peu concon sur les bords cette série ?
# Les tartes ont l'air dégueulasses. Hey, comme dans Sweeney Todd. C'est vrai, Burton c'est l'une des références. Sans histoire, ni idée intéressante, la série essaye d'exploiter des références. C'est à dire que le truc est un ersatz d'ersatz. Un truc avarié quoi.
La Bob Note : Amélie Poulain aux toilettes/10 (et je suis généreux là)
dimanche 28 septembre 2008
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